L’équipe de chercheurs a recueilli des poissons sauvages et des poissons et moules d’eau douce encagés dans les rivières canadiennes en aval des effluents d’eaux usées. Ils les ont comparé aux conditions des poissons et moules encagés dans des sites non contaminés en amont. En outre, l’équipe a recueilli des poissons d’un lac qui avait déjà été dosé de façon expérimentale avec de l’oestrogène synthétique pour voir si les populations de poissons s’étaient rétablies de cette exposition passée.

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